Bonjour,
En relisant les 3 mensuels, j'ai eu l'impression que la situation vécue dans les sport boules de 1982 est la même que celle que nous avons connue la saison passée, en ce qui concerne les jeunes et les loisirs.
france-bouliste-n-8.pdf (9.68 Mo)
Il va de soit que tant que notre fédération n'aura pas signé un protocole avec le Ministère des Sports pour faire connaître et pratiquer le sport boules à l'école, il sera difficile pour l'ensemble des AS de faire pratiquer notre dicipline, nous comptons en IDF le peu de licenciés disposant du diplôme d'animateur de boulodrome et encore dans le peu de boulodromes en IDF, la situation du porte à porte dépendant généralement d'un accord de l'instituteur avec le dirigeant et animateur de boulodrome...
Il en va de même pour le sport santé, en IDF, le peu de diplomés ne souhaitant pas s'investir dans cette pratique et passer les examens qui vont bien pour accueillir les personnes en sport santé.
Que dire du sport sur ordonnance ! si je mettais un peu d'humour, je dirais que l'on pourrait initier les nouveaux pratiquants en téléconsultations...via Skype...
La solution, est simple, il convient de trouver des bonnes âmes boulistes désirant s'investir dans ces programmes, de donner de leur temps, on ne parle même plus de bénévolat, c'est un mot qui fâche, je crains que l'île de France comptabilise moins de 1 000 licenciés dans le deux prochaines saisons, et encore je suis peut-être optimiste.
Bon confinement
Bon courage à ceux qui oeuvrent
Bien sportivement
Franck BERUDI - Président de la LBR